Ô Ma muse aimée, inspire-moi encore
De l'âge de mystère et ses hauts faits passés
Brise-moi, d'un souffle, les brouillards massés
Sur la bouche du luth que constitue mon corps !
(Par le vent créateur, le souffle errant, vibrant
Qui s’élève des eaux au siphon écrivain
Sont inspirés les vers du poète aspirant
A l’absolu du verbe indicible et divin …)
Va, rêve, amène-nous aux sommets du génie,
Ô mon âme inconsciente et savante sublime,
Pure essence née d’un Univers béni,
Entes mes mouvements à ces absolues cimes ;
Va survoler, allègre, ô mon victorieux cygne
Les hauteurs infranchies declà les paradis
Va ouvrir la porte à la célestielle vigne,
Et goûtes-y les sucs inconnus d’Arcadie !
Entre Dramelay et Chatonnay, le pont "romain" sur le Dard, vue peu en amont de la chute sur la Quinquenauille, et non loin, la grotte à l'âne.
Pays Valousien : archéologie histoire mémoire légendes poésies
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